PARKINSON : Les promesses des oligonucléotides antisens
Les oligonucléotides antisens (ASO), de courtes séquences d'ADN simple brin, sont peut-être la clé de nouveaux traitements de la maladie de Parkinson, révèle cette équipe de neuroscientifiques de l’Université de Tokyo. L’équipe documente en effet, dans la revue Acta Neuropathologica Communications, les effets protecteurs des oligonucléotides antisens (ASO) qui ciblent l'ARNm de l'α-synucléine.
Pour continuer à lire cette actualité, vous devez être membre Premium.
Je souhaite devenir membre PREMIUM
Accèdez sans limite aux 15 000 actualités du site et recevez gratuitement chaque semaine, la Newsletter Santé log avec les actus Santé à ne pas manquer !
Je suis déjà
membre PREMIUM
Devenez membre PREMIUM
Accèdez sans limite aux 15 000 actualités du site
et recevez gratuitement chaque semaine,
la Newsletter Santé log avec les actus Santé à ne pas manquer !
Je suis déjà membre PREMIUM
Autres actualités sur le même thème
COVID-19 et PARKINSON : Quand SARS-CoV-2 interagit avec l’alpha-synucléine
Actualité publiée il y a 3 années 1 moisTROUBLES BIPOLAIRES : Un facteur de mortalité plus puissant que le tabagisme
Actualité publiée il y a 1 année 4 joursPARKINSON : Le remplacement de neurones fait sa preuve de concept
Actualité publiée il y a 2 années 3 moisOCYTOCINE : Elle calme aussi les troubles digestifs
Actualité publiée il y a 4 années 4 mois
ABONNEMENT PREMIUM
Accédez sans limite à plus de 15 000 actualités